050305 - la liberté

Publié le par zaza, princess of babacheland...

"par amour je te laisse les bras ouverts pour que tu puises mieux partir l'esprit en paix, et revenir quand le besoin se fait ressentir".
 
Je m'aperçois que j'applique ce concept à tous. La question est, qu'à peu d'exceptions, les gens oublient de revenir, de se soucier de moi, de mes besoins, de ma petite personne quoi. Mais est-ce réellement trop demandé?
 
Comment font-ils pour partir sans se retourner?
J'en finis par me dire que pour beaucoup je suis bien pratique!
 
Mais je n'oublie pas ceux qui restent. Ceux là, vous, si vous me lisez... Vous me confortez dans l'idée que vous êtes importants et que je sais que VOUS, vous me respectez dans mon quotidien, vous vous souciez.
 
 

Publié dans babacheland

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
C
"le ferrailleur pluvieux" doit se trouver au dessus de votre nuage et pleurer beaucoup pour que vous le considérer comme cet objet tout rouillé. ansi soit le ferrailleur (qui de toute facon n'est destiné qu'a rouiller).Je ne savai pas que les princesses surtout celles nomées ZaZa pouvaient etre malheureuse... <br /> excuser oi mai je vous descend avec bonheur de votre nuage pour me rassurer : vous etes comme moi. Les princesses pleurent aussi pour eux ( mais pas trop quand même). Il ne fodrait pas que notre monde rouille à cause de cette ferraille mouillée!<br /> Merci bien.je sais dès lors que je peux etre aussi princesse puisque le bonheur n'est pas une condition à ce titre. heureusement!!<br />
Répondre
C
Mme la princesse, "tombée" sur votre nuage virtuel par erreur c'est avec bonheur que j'en ai lu jusqu'a la moindre ligne vos écrits. les lignes que j'ai écrites hier soir sont sorties comme un cri. Les situations de votre palais aérien se produisent aussi au bas niveau de la terre. Je voudrais lui dire de revenir mais c cruellement impossible! peut ere pourriez vous me communiquer ce nouveau lieu ou vous évoluez sur la toile du net. Bien amicalement camille.
Répondre
Z
chère Camille... Vous ne me laissez pas d'adresse pour vous répondre. Je respecte et comprends votre désir d'anonymat. Je réponds donc comme une lectrice... Sachez simplement que derrière certains mots que "le ferrailleur pluvieux" m'a adressée, vous vous méprenez sans doute sur qui a laissé l'autre... Il est facile après un abandon, une fuite, ou simplement une absence, d'écrire "tu me manques". Il est facile après avoir infligé maintes tortures ou souffrances de revenir en disant "je t'aime". Comprenez-vous mieux alors sa première phrase "en te blessant durement"? Je l'espère, tout comme j'espère de tout coeur que vous ne connaissez, ni connaitrez cette souffrance. J'espère vous relire ici. Sincérement... Si ce blog ne supporte plus de publication depuis, c'est qu'un autre a été créé, où le ferrailleur plusvieux ne saurait me lire. J'espère que vous comprendrez, j'espère vous relire. Amicalement, vraiment. <br />
Répondre
C
IL y a deux mots pour dire "je t'aime"<br /> IL y a deux mots pour dire "vas t'en"<br /> Il faut avouer que c'est avec apreté<br /> Que ces mots sont dévoilés.<br /> Mais n'oubliez pas de vos nuages,<br /> Que sans vouloir tourner la page<br /> <br /> <br /> <br /> IL n'y a qu'un mot pour dire "reviens"
Répondre